Exécution publique en Afghanistan condamnée comme une « violation flagrante des droits de l’homme »
Kaboul, Afghanistan – Une exécution publique brutale a eu lieu en Afghanistan le 13 novembre 2024, suscitant des condamnations généralisées de la part des organisations de défense des droits de l’homme.
Selon des témoins oculaires, un homme a été abattu devant une foule dans la province de Kandahar. L’homme, identifié comme étant un criminel condamné, aurait été accusé d’avoir tué un mollah.
L’exécution, qui a été réalisée par des combattants talibans, a été filmée et diffusée sur les médias sociaux. La vidéo montre l’homme agenouillé les mains liées derrière le dos, tandis qu’un combattant tire à bout portant.
Les Nations unies et d’autres organisations de défense des droits de l’homme ont vivement condamné l’exécution. Rupert Colville, porte-parole du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme, a déclaré que « cette exécution publique est un rappel brutal de la situation désastreuse des droits de l’homme en Afghanistan. »
Amnesty International a qualifié l’exécution de « violation flagrante des droits de l’homme » et a appelé les autorités talibanes à mettre fin immédiatement à « cette pratique barbare ».
Le gouvernement taliban n’a pas encore commenté l’exécution. Cependant, les talibans ont précédemment défendu leur recours aux châtiments corporels et aux exécutions publiques, affirmant qu’elles sont conformes à la charia, la loi islamique.
L’exécution a suscité de l’inquiétude quant à l’avenir des droits de l’homme en Afghanistan. Depuis que les talibans ont repris le contrôle du pays en août 2021, ils ont imposé des restrictions sévères aux libertés civiles, notamment aux droits des femmes.
Des militants des droits de l’homme craignent que l’exécution ne soit un signe que les talibans reviennent aux pratiques brutales qui ont caractérisé leur règne dans les années 1990.
L’Afghanistan a une longue histoire d’exécutions publiques. Sous le régime taliban dans les années 1990, les exécutions publiques étaient courantes et servaient souvent à dissuader les crimes.
Après le renversement des talibans en 2001, le nouveau gouvernement afghan a interdit les exécutions publiques. Cependant, les exécutions extrajudiciaires et les châtiments corporels sont restés monnaie courante dans certaines parties du pays.
L’exécution de Kandahar est un rappel inquiétant du fait que les droits de l’homme restent précaires en Afghanistan. La communauté internationale doit continuer à faire pression sur les talibans pour qu’ils respectent les droits de l’homme et mettent fin à cette pratique barbare.
Public execution in Afghanistan condemned as ‘clear human rights violation’
L’IA nous a apporté la nouvelle.
J’ai posé la question suivante à Google Gemini, et voici sa réponse.
Top Stories a publié un nouvel article le 2024-11-13 12:00 intitulé « Public execution in Afghanistan condemned as ‘clear human rights violation’ ». Veuillez rédiger un article détaillé sur cette nouvelle, en incluant toute information pertinente. Les réponses doivent être rédigées Français.
17