Un mandat d’arrêt demandé contre le commandant en chef du Myanmar pour les crimes contre les Rohingyas
Yangon, Myanmar – Un mandat d’arrêt a été demandé par un tribunal international contre le commandant en chef du Myanmar, le général Min Aung Hlaing, pour son rôle présumé dans les crimes commis contre le peuple Rohingya.
La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé le 27 novembre 2024 qu’elle avait reçu une demande du procureur en chef, Karim Khan QC, pour un mandat d’arrêt contre le général Hlaing. Le procureur allègue que le général Hlaing a commis des crimes contre l’humanité et des crimes de guerre, notamment des meurtres, des viols et des déportations forcées.
La demande de mandat d’arrêt découle d’une enquête menée par la CPI sur les violences commises contre les Rohingyas au Myanmar depuis 2017. L’enquête a révélé que l’armée du Myanmar avait mené une campagne de nettoyage ethnique contre les Rohingyas, une minorité musulmane apatride.
La CPI a déjà émis des mandats d’arrêt contre deux autres hauts responsables militaires du Myanmar, les généraux Maung Maung Soe et Soe Win. Le général Hlaing est le plus haut responsable militaire à être pris pour cible par la CPI.
Réaction du gouvernement du Myanmar
Le gouvernement du Myanmar a fermement condamné la demande de mandat d’arrêt. Le porte-parole du gouvernement, Zaw Htay, a déclaré que la demande était « motivée politiquement » et « n’avait aucun fondement juridique ».
Il a également accusé la CPI d’être « biaisée » contre le Myanmar et a déclaré que le gouvernement ne coopérerait pas avec la Cour.
Réaction internationale
La demande de mandat d’arrêt a été saluée par les groupes de défense des droits de l’homme. Human Rights Watch a déclaré que la demande envoyait un « message fort » au gouvernement du Myanmar selon lequel il devait rendre des comptes pour ses crimes.
L’Organisation des Nations Unies a également exprimé son soutien à la demande de mandat d’arrêt. Un porte-parole des Nations Unies a déclaré que l’ONU « s’est engagée à garantir que les responsables des atrocités commises contre les Rohingyas soient tenus responsables ».
Prochaines étapes
La CPI examinera désormais la demande de mandat d’arrêt. Si la Cour émet un mandat d’arrêt, le général Hlaing sera recherché par Interpol et pourra être arrêté par n’importe quel pays membre.
Le général Hlaing est toujours au pouvoir au Myanmar et il est peu probable qu’il se rende volontairement à la CPI. Cependant, la demande de mandat d’arrêt enverra un message fort selon lequel la communauté internationale n’oubliera pas les crimes commis contre les Rohingyas.
Arrest warrant sought for Myanmar Commander-in-Chief for Rohingya crimes
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J’ai posé la question suivante à Google Gemini, et voici sa réponse.
Law and Crime Prevention a publié un nouvel article le 2024-11-27 12:00 intitulé « Arrest warrant sought for Myanmar Commander-in-Chief for Rohingya crimes ». Veuillez rédiger un article détaillé sur cette nouvelle, en incluant toute information pertinente. Les réponses doivent être rédigées Français.
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