Women,‘The new generation is different’: In Djibouti, activists lobby to end female genital mutilation


« La nouvelle génération est différente » : à Djibouti, des militantes luttent pour mettre fin aux mutilations génitales féminines

Publié le 5 février 2025 à 12h00 par Women

Djibouti, Djibouti – Dans l’étroite ruelle animée de Hayableh, un quartier pauvre de la capitale djiboutienne, des femmes et des jeunes filles se rassemblent dans un centre communautaire pour discuter d’un sujet sensible : les mutilations génitales féminines (MGF).

Depuis des décennies, Djibouti est confronté à des taux élevés de MGF, une pratique dangereuse et nocive qui consiste à retirer partiellement ou totalement les organes génitaux externes féminins. Selon les Nations Unies, près de 98 % des femmes et des filles de Djibouti ont subi une mutilation génitale.

Mais les choses commencent à changer. Une nouvelle génération de militantes djiboutiennes se mobilise pour mettre fin à cette pratique néfaste.

L’une de ces militantes est Amina Abdi, 25 ans. Elle a subi une MGF à l’âge de 12 ans et a souffert des conséquences physiques et psychologiques de cette pratique pendant des années.

« C’est une expérience horrible que je ne souhaite à aucune fille », a déclaré Amina. « Elle m’a causé des douleurs, des infections et des problèmes de santé mentale. »

Amina a rejoint un groupe de femmes et de jeunes filles qui œuvrent pour mettre fin aux MGF à Djibouti. Elles font du porte-à-porte, organisent des ateliers dans les écoles et les communautés, et plaident auprès du gouvernement pour qu’il adopte des lois plus strictes.

Il existe des signes encourageants. En 2022, le gouvernement de Djibouti a adopté une nouvelle loi interdisant les MGF. La loi prévoit des peines de prison allant jusqu’à 20 ans pour les personnes reconnues coupables de pratiquer les MGF.

Cependant, l’application de la loi reste un défi. De nombreuses communautés djiboutiennes continuent de pratiquer les MGF en secret, et les autorités sont souvent réticentes à poursuivre les contrevenants.

« Il y a encore beaucoup de travail à faire », a déclaré Amina. « Mais je crois que nous progressons. La nouvelle génération est différente. Elle est plus éduquée et plus déterminée à mettre fin aux MGF. »

Le travail des militantes djiboutiennes commence à porter ses fruits. Selon une étude récente, le taux de prévalence des MGF chez les filles de moins de 15 ans a diminué de moitié au cours des cinq dernières années.

Cela montre que le changement est possible. Avec détermination et persévérance, les militantes djiboutiennes peuvent mettre fin aux MGF dans leur pays et créer un avenir meilleur pour les filles et les femmes.


‘The new generation is different’: In Djibouti, activists lobby to end female genital mutilation

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Women a publié un nouvel article le 2025-02-05 12:00 intitulé « ‘The new generation is different’: In Djibouti, activists lobby to end female genital mutilation ». Veuillez rédiger un article détaillé sur cette nouvelle, en incluant toute information pertinente. Les réponses doivent être rédigées Français.


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