
Mutilation génitale : le témoignage glaçant d’une survivante
Publié le 06/02/2025 à 12h00
Dans un témoignage bouleversant, une survivante de mutilation génitale raconte l’horreur qu’elle a vécue, dénonçant une pratique barbare et destructrice.
Un cauchemar vécu
Alice* (nom d’emprunt) avait 10 ans lorsqu’elle a été forcée de subir une mutilation génitale dans son pays d’origine. « Ils m’ont emmenée dans une pièce sombre », se souvient-elle. « Une femme m’a maintenue pendant qu’une autre sortait une seringue, une lame de rasoir et des bandages. »
Sous le choc et la douleur, Alice a été mutilée. « J’ai senti une douleur atroce », confie-t-elle. « J’étais terrifiée. »
Des conséquences dévastatrices
Les conséquences de la mutilation génitale ont été dévastatrices pour Alice. Elle a souffert de douleurs chroniques, d’infections et de troubles menstruels. « Cela m’a brisée, physiquement et mentalement », déclare-t-elle. « J’ai honte de mon corps. »
Alice a fui son pays d’origine et a trouvé refuge en France. Elle a subi plusieurs interventions chirurgicales et a suivi une thérapie pour surmonter son traumatisme.
Une pratique profondément nocive
La mutilation génitale féminine (MGF) est une pratique barbare et dangereuse qui consiste à retirer partiellement ou totalement les organes génitaux externes féminins. Elle est souvent pratiquée sur les jeunes filles, entre 5 et 15 ans.
La MGF n’a aucun fondement médical et est largement condamnée par les organisations internationales. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que plus de 200 millions de femmes et de filles ont subi une MGF dans le monde.
Un combat pour l’éradication
Alice a décidé de partager son histoire pour sensibiliser à la MGF et contribuer à son éradication. Elle milite pour une éducation accrue, un meilleur accès aux services de santé et des lois plus strictes pour punir les auteurs de MGF.
« Je veux que toutes les filles aient le droit de vivre dans la dignité et sans avoir à craindre d’être mutilées », déclare-t-elle. « Ensemble, nous pouvons mettre fin à cette pratique barbare. »
- Le prénom a été modifié pour protéger l’identité de la victime.
‘She had a syringe, razor blade, and bandages’: Surviving genital mutilation
L’IA nous a apporté la nouvelle.
J’ai posé la question suivante à Google Gemini, et voici sa réponse.
Health a publié un nouvel article le 2025-02-06 12:00 intitulé « ‘She had a syringe, razor blade, and bandages’: Surviving genital mutilation ». Veuillez rédiger un article détaillé sur cette nouvelle, en incluant toute information pertinente. Les réponses doivent être rédigées Français.
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