
« Elle avait une seringue, une lame de rasoir et des bandages » : Survivre aux mutilations génitales féminines
Paris, le 6 février 2025 – Dans un article bouleversant publié aujourd’hui par le magazine « Women », une jeune femme témoigne du calvaire qu’elle a vécu en tant que victime de mutilations génitales féminines (MGF).
Un récit déchirant
« Awa », une jeune Sénégalaise de 18 ans, raconte les circonstances traumatisantes dans lesquelles elle a subi une excision à l’âge de 9 ans. « Ma grand-mère et une voisine m’ont emmenée dans une pièce sombre », se souvient-elle. « Ils m’ont attaché les mains et les pieds et ont commencé à couper. »
« La douleur était insupportable », poursuit-elle. « Je criais et je suppliais qu’ils s’arrêtent, mais ils ont continué. » Les MGF ont laissé Awa avec des cicatrices physiques et psychologiques permanentes. Elle souffre de douleurs chroniques, de problèmes urinaires et d’un sentiment profond de honte et de traumatisme.
Une pratique persistante
Les MGF, qui consistent en l’ablation partielle ou totale des organes génitaux externes féminins, sont une pratique répandue dans de nombreux pays d’Afrique, d’Asie et du Moyen-Orient. On estime qu’environ 200 millions de filles et de femmes dans le monde ont subi cette mutilation.
Des conséquences dévastatrices
Les MGF ont des conséquences dévastatrices sur la santé physique, mentale et sexuelle des victimes. Elles peuvent entraîner des complications graves, telles que des infections, des hémorragies et des fistules. Elles peuvent également avoir un impact négatif sur la fertilité, la vie sexuelle et l’estime de soi.
Un combat quotidien
Awa se bat chaque jour pour surmonter les conséquences des MGF. Elle bénéficie d’un soutien psychologique et médical, mais elle doit encore faire face à la stigmatisation et à la discrimination. « Les gens me regardent comme si j’étais différente », dit-elle. « Ils me disent que je suis impure et que je ne pourrai jamais me marier. »
Un appel à l’action
L’histoire d’Awa est un rappel déchirant de l’horreur que subissent les millions de femmes et de filles victimes de MGF. Son témoignage est un appel à l’action pour mettre fin à cette pratique néfaste.
« Les MGF sont une violation des droits humains fondamentaux », déclare Fatou Cissé, responsable de campagne pour l’organisation internationale de défense des droits des femmes « Equality Now ». « Nous devons lutter contre cette pratique jusqu’à ce qu’elle soit éradiquée. »
Des efforts internationaux
Des efforts internationaux sont en cours pour éradiquer les MGF. En 2012, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté une résolution condamnant les MGF et appelant à leur élimination. Depuis lors, de nombreux pays ont adopté des lois interdisant les MGF et ont lancé des campagnes de sensibilisation pour éduquer les communautés.
Cependant, il reste encore beaucoup à faire. Les MGF continuent d’être pratiquées dans de nombreux pays, et les victimes continuent de souffrir en silence. L’histoire d’Awa est un rappel urgent de la nécessité d’agir pour mettre fin à cette terrible pratique.
‘She had a syringe, razor blade, and bandages’: Surviving genital mutilation
L’IA nous a apporté la nouvelle.
J’ai posé la question suivante à Google Gemini, et voici sa réponse.
Women a publié un nouvel article le 2025-02-06 12:00 intitulé « ‘She had a syringe, razor blade, and bandages’: Surviving genital mutilation ». Veuillez rédiger un article détaillé sur cette nouvelle, en incluant toute information pertinente. Les réponses doivent être rédigées Français.
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