
Bangladesh : une enquête sur les manifestations révèle que de hauts dirigeants ont mené une répression brutale
12 février 2025
Dhaka, Bangladesh – Une enquête indépendante sur les manifestations de 2023 au Bangladesh a révélé que de hauts dirigeants du gouvernement, dont le Premier ministre Sheikh Hasina, ont ordonné et autorisé une répression brutale contre les manifestants.
L’enquête a été menée par une commission d’enquête internationale dirigée par l’ancien juge de la Cour pénale internationale, Luis Moreno-Ocampo. Le rapport, publié le 12 février 2025, fait état des conclusions accablantes suivantes :
- Meurtres extrajudiciaires et disparitions forcées : La commission a documenté au moins 100 meurtres extrajudiciaires et 150 disparitions forcées commises par les forces de sécurité bangladaises pendant et après les manifestations.
- Torture et traitements inhumains : Les manifestants ont été soumis à des électrocutions, des passages à tabac et d’autres formes de torture pendant leur détention.
- Liberté d’expression réprimée : Le gouvernement a fermé les médias critiques, arrêté des journalistes et intimidé des militants.
- Ordres de répression : Le rapport indique que le Premier ministre Hasina et d’autres hauts responsables ont ordonné aux forces de sécurité d’utiliser « toute la force nécessaire » pour réprimer les manifestations.
La commission a condamné cette répression en termes sévères, la qualifiant de « grave violation des droits humains ». Elle a appelé le gouvernement bangladais à tenir pour responsables les auteurs, à indemniser les victimes et à mettre en œuvre des réformes pour prévenir de nouvelles violations.
Le rapport a été accueilli avec indignation par l’opposition et les groupes de défense des droits humains. L’Alliance nationale, un groupe d’opposition, a exigé la démission du Premier ministre Hasina. Amnesty International a qualifié les conclusions du rapport de « chocantes et édifiantes ».
Le gouvernement bangladais a rejeté le rapport, le qualifiant de « politiquement motivé ». Il a affirmé que les forces de sécurité avaient agi en légitime défense contre des manifestants violents.
Cependant, la communauté internationale a condamné la répression et appelé le gouvernement bangladais à rendre des comptes. Les États-Unis ont suspendu leur aide militaire au Bangladesh, tandis que l’Union européenne a menacé de sanctions.
La publication du rapport a déclenché de nouvelles manifestations au Bangladesh, exigeant justice pour les victimes de la répression. Les forces de sécurité ont de nouveau réagi avec force, ce qui a donné lieu à de nouvelles violences.
L’enquête sur les manifestations de 2023 au Bangladesh a mis en lumière une violation flagrante des droits humains. Elle a révélé que de hauts dirigeants du gouvernement ont autorisé et ordonné une répression brutale contre leur propre peuple, ce qui a entraîné des meurtres, des disparitions et des tortures. La communauté internationale doit continuer à faire pression sur le gouvernement bangladais pour qu’il rende des comptes et mette en œuvre des réformes pour empêcher de nouvelles violations.
Bangladesh protests probe reveals top leaders led brutal repression
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