Des millions de femmes et de filles contraintes de fuir, confrontées à un risque élevé de violence basée sur le genre
Genève, 29 novembre 2024 – Des millions de femmes et de filles déplacées de force dans le monde sont confrontées à un risque accru de violence basée sur le genre (VBG), selon un nouveau rapport du HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés.
Le rapport, intitulé « Femmes et filles en fuite : risques accrus de violence basée sur le genre », révèle que les femmes et les filles déplacées sont plus susceptibles d’être victimes de violences physiques, sexuelles et psychologiques que les hommes et les garçons déplacés. Elles sont également confrontées à des obstacles importants pour accéder aux services de protection et de soutien, ce qui les rend encore plus vulnérables à la violence.
« Les femmes et les filles en fuite sont confrontées à des défis uniques et dangereux », a déclaré Gillian Triggs, Haut-Commissaire assistante du HCR pour la protection. « Elles ont besoin de notre soutien et de notre protection, et il est essentiel que nous travaillions tous ensemble pour mettre fin à la violence basée sur le genre dans les situations de déplacement. »
Le rapport révèle que les femmes et les filles déplacées sont exposées à un risque accru de VBG en raison de plusieurs facteurs, notamment :
- Discrimination et stigmatisation : Les femmes et les filles déplacées sont souvent considérées comme des étrangères ou des boucs émissaires, ce qui les rend plus vulnérables à la discrimination et à la stigmatisation.
- Conditions de vie précaires : Les femmes et les filles déplacées vivent souvent dans des conditions de vie précaires, telles que des camps de réfugiés surpeuplés ou des logements informels, ce qui les expose à un risque accru de violence.
- Manque d’accès aux services : Les femmes et les filles déplacées ont souvent des difficultés à accéder aux services essentiels, tels que les soins de santé, l’éducation et l’assistance juridique, ce qui les rend plus vulnérables à la violence.
Le rapport appelle les gouvernements, les organisations humanitaires et les communautés d’accueil à prendre des mesures pour prévenir et répondre à la VBG dans les situations de déplacement. Ces mesures comprennent :
- Sensibiliser à la VBG : Sensibiliser à la VBG et à ses effets néfastes sur les femmes et les filles déplacées.
- Renforcer les services de protection : Renforcer les services de protection pour les femmes et les filles déplacées, tels que les espaces sûrs, les lignes d’assistance et le soutien juridique.
- Travailler avec les communautés : Travailler avec les communautés d’accueil pour promouvoir l’inclusion et prévenir la violence à l’égard des femmes et des filles déplacées.
« Nous devons travailler ensemble pour créer un monde où toutes les femmes et les filles, où qu’elles se trouvent, sont en sécurité et protégées contre la violence », a déclaré Gillian Triggs. « Nous ne pouvons pas nous permettre de laisser les femmes et les filles déplacées derrière nous. »
Le rapport complet est disponible sur le site internet du HCR : www.unhcr.org/fr-fr/femmes-et-filles-en-fuite-risques-accrus-de-violence-basee-sur-le-genre.html
Millions of women and girls forced to flee face high risk of gender-based violence: UNHCR
L’IA nous a apporté la nouvelle.
J’ai posé la question suivante à Google Gemini, et voici sa réponse.
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