Crise au Myanmar : des civils tués dans des frappes aériennes, tandis que les Rohingyas risquent des traversées périlleuses
22 janvier 2025
Une nouvelle vague de violence a frappé le Myanmar, alors que des frappes aériennes ont fait des victimes parmi les civils. L’armée a affirmé que les frappes visaient des positions de rebelles, mais des témoins oculaires affirment que des civils ont été tués. La crise en cours dans l’État de Rakhine a également atteint de nouveaux sommets, les Rohingyas risquant de dangereux voyages pour échapper aux persécutions.
Frappes aériennes meurtrières
Selon des sources locales, les frappes aériennes ont eu lieu dans les villages de Tin Maung Chaung et de Done Taw dans l’État de Chin, à l’ouest du Myanmar. Des habitants ont déclaré que les frappes avaient touché des maisons et des écoles, tuant au moins 10 personnes, dont des femmes et des enfants.
L’armée a nié avoir visé des civils, affirmant que les frappes étaient dirigées contre des rebelles de l’Armée d’indépendance de Chin (CIA). Cependant, les témoins oculaires contredisent cette affirmation, déclarant qu’il n’y avait pas de rebelles dans la zone au moment des frappes.
Risques pour les Rohingyas
La crise en cours dans l’État de Rakhine continue d’affecter la minorité musulmane rohingya. Plus de 700 000 Rohingyas ont fui vers le Bangladesh depuis août 2017, suite à une répression militaire brutale.
Malgré les appels de la communauté internationale à leur retour, les Rohingyas continuent de faire face à des persécutions et à des discriminations au Myanmar. De nombreux Rohingyas risquent désormais de périlleux voyages pour échapper à ces conditions.
Récemment, les garde-côtes indonésiens ont intercepté un bateau transportant plus de 100 Rohingyas qui tentaient de rejoindre la Malaisie. Le bateau était surchargé et dans un état déplorable, et les passagers étaient dans un état de santé précaire.
Réactions internationales
La communauté internationale a condamné les récentes frappes aériennes et appelé à une enquête approfondie. Les États-Unis ont déclaré qu’ils étaient « profondément préoccupés » par la situation et ont demandé une « cessation immédiate des violences contre les civils ».
L’ONU a également exprimé son inquiétude face à la crise humanitaire à laquelle sont confrontés les Rohingyas. Le Haut-Commissaire des Nations Unies pour les droits de l’homme, Michelle Bachelet, a appelé le Myanmar à « mettre fin à la persécution et à la discrimination contre les Rohingyas ».
Perspectives d’avenir
La crise au Myanmar semble loin d’être résolue. Les frappes aériennes et la répression continue des Rohingyas suscitent de sérieuses inquiétudes quant à l’état des droits de l’homme dans le pays. La communauté internationale doit continuer à faire pression sur le Myanmar pour qu’il mette fin aux violences et respecte les droits fondamentaux de tous ses citoyens.
Myanmar crisis: Civilians killed in airstrikes as Rohingya risk dangerous journeys
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